Salut à tous ! Je vous retrouve aujourd'hui pour la chronique de mon premier livre de Tatiana de Rosnay : La mémoire des murs. Un livre qui attendait dans ma PAL depuis deux ans, je dirais... Mais comme vous le voyez sur la photo, j'ai encore un livre de cette auteure dans ma PAL : Le coeur d'une autre.
Titre : La mémoire des murs
Auteur : Tatiana de Rosnay
Maison d'édition : Le livre de poche
Année : 2010
Nombre de pages : 153 pages
Synopsis :
"L’appartement correspondait pourtant exactement à ce que Pascaline, informaticienne de quarante ans, avait imaginé pour sa nouvelle vie de femme divorcée sans enfants. Un deux-pièces calme et clair donnant sur une rue animée.
Mais à peine installée, elle apprend par une voisine qu’un drame s’y est déroulé quelques années auparavant. Comment vivre dans un lieu marqué par l’horreur ? Comment continuer à dormir dans cette atmosphère oppressante ? Et pourquoi Pascaline est-elle obsédée par cette tragédie ?
Lentement, sûrement, par touches infimes, cette histoire ranime chez elle une ancienne douleur, une fragilité secrète restée longtemps enfouie.Seule face à la mémoire des murs, elle devra affronter son propre passé."
Mais à peine installée, elle apprend par une voisine qu’un drame s’y est déroulé quelques années auparavant. Comment vivre dans un lieu marqué par l’horreur ? Comment continuer à dormir dans cette atmosphère oppressante ? Et pourquoi Pascaline est-elle obsédée par cette tragédie ?
Lentement, sûrement, par touches infimes, cette histoire ranime chez elle une ancienne douleur, une fragilité secrète restée longtemps enfouie.Seule face à la mémoire des murs, elle devra affronter son propre passé."
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Dans ce roman de Tatiana de Rosnay, on retrouve Pascaline, tout juste divorcée, qui emménage dans un nouvel appartement. Mais tout ne se passe pas comme prévu et ce nouvel appartement devient un cauchemar pour Pascaline. Le synopsis est intriguant. Un déménagement qui tourne au cauchemar à cause d'un drame. Les murs gardent-ils un souvenir de ce qui se passe dans une pièce ? J'ai été attirée par l'histoire proposée par Tatiana de Rosnay mais mon attirance s'est éteinte au fur et à mesure du livre...
Tout d'abord, je n'ai pas vraiment accroché avec le personnage de Pascaline. Quarantenaire, divorcée, informaticienne, bien loin de moi. Je n'ai donc, bien sûr, pas pu m'identifier mais en plus, je n'ai pas réussi à m'attacher à elle. Elle m'a vraiment déplu, parfois énervée et m'a souvent laissée dans l'incompréhension. Elle ne veut pas se défaire de son divorce et reste accrocher à son ex-mari. Elle est hantée par le souvenir de son appartement, mais à un point si déraisonnable que j'avais envie de la secouer pour la réveiller. Enfin, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout accroché au personnage de Pascaline. Les personnages secondaires sont là, un peu en tapisserie pour meubler le fond mais l'histoire se concentre vraiment sur Pascaline, donc aucun plaisir pour moi du côté des personnages.
Ensuite, l'histoire. Elle était vraiment prometteuse au début : un drame au sein d'un appartement et une enquête sur la trace d'un serial killer. J'étais enchantée parce-que le roman nous promettait et puis, j'ai lu. La trace du serial killer n'est pas suivi mais il y a plutôt une fixette, carrément malsaine, sur des victimes et une presque "appropriation du deuil" qui m'ont fait levé les yeux au ciel. Je n'ai vraiment pas compris les agissements du personnage, qui selon moi, a un sacré problème.
La seule chose qui m'aura plus ou moins plu dans ce roman, c'est la fin. Même si je ne l'ai pas forcément comprise et qu'elle est très (très) rapide, le fin mot et l'ouverture laissée à la fin de ce roman m'ont permis de finir ma lecture sur une note un chouilla plus positive. Cependant, ça ne reste pas une lecture mémorable...
Tout d'abord, je n'ai pas vraiment accroché avec le personnage de Pascaline. Quarantenaire, divorcée, informaticienne, bien loin de moi. Je n'ai donc, bien sûr, pas pu m'identifier mais en plus, je n'ai pas réussi à m'attacher à elle. Elle m'a vraiment déplu, parfois énervée et m'a souvent laissée dans l'incompréhension. Elle ne veut pas se défaire de son divorce et reste accrocher à son ex-mari. Elle est hantée par le souvenir de son appartement, mais à un point si déraisonnable que j'avais envie de la secouer pour la réveiller. Enfin, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout accroché au personnage de Pascaline. Les personnages secondaires sont là, un peu en tapisserie pour meubler le fond mais l'histoire se concentre vraiment sur Pascaline, donc aucun plaisir pour moi du côté des personnages.
Ensuite, l'histoire. Elle était vraiment prometteuse au début : un drame au sein d'un appartement et une enquête sur la trace d'un serial killer. J'étais enchantée parce-que le roman nous promettait et puis, j'ai lu. La trace du serial killer n'est pas suivi mais il y a plutôt une fixette, carrément malsaine, sur des victimes et une presque "appropriation du deuil" qui m'ont fait levé les yeux au ciel. Je n'ai vraiment pas compris les agissements du personnage, qui selon moi, a un sacré problème.
La seule chose qui m'aura plus ou moins plu dans ce roman, c'est la fin. Même si je ne l'ai pas forcément comprise et qu'elle est très (très) rapide, le fin mot et l'ouverture laissée à la fin de ce roman m'ont permis de finir ma lecture sur une note un chouilla plus positive. Cependant, ça ne reste pas une lecture mémorable...
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