Salut à tous ! C'est la fin du mois, ce qui veut donc dire bilan du mois ! Encore un mois un peu spécial pour moi puisque bien que le confinement se soit terminé le 11 mai, je continue l'enseignement à distance tout en ayant déjà mon bac et mon affectation pour l'année prochaine. Donc, une ambiance un peu spéciale pour ma part... Encore une fois, ça a été un très bon mois au niveau lectures puisque que j'ai encore lu beaucoup de livres ce qui change énormément de mon rythme de lecture d'avant-confinement.
Salut
à tous ! Vous allez bien ? J
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler d’un roman dont j’ai beaucoup
entendu parler et qui me faisait extrêmement envie : La tête sous l’eau
d’Olivier Adam, publié chez la Collection R’ de Robert Laffont. C’est un auteur
que je connaissais de nom et que j’avais réellement envie de découvrir, voilà
qui est chose faîte !
Titre : La tête sous
l’eau Auteur :
Olivier Adam Maison d’édition :
Editions Robert Laffont (R) Année :
2018 Nombre de pages :
217 pages |
Synopsis :« Quand
mon père est ressorti du commissariat, il avait l’air perdu. Il m’a pris dans
ses bras et s’est mis à pleurer. Un court instant j’ai pensé : ça y est, on y
est. Léa est morte. Puis il s’est écarté et j’ai vu un putain de sourire se
former sur son visage. Les mots avaient du mal à sortir. Il a fini par
balbutier : « On l’a retrouvée. Merde alors. On l’a retrouvée. C’en est fini
de ce cauchemar. » Il se trompait. Ma sœur serait bientôt de retour parmi
nous mais on n’en avait pas terminé. » |
°°°
Dans ce roman, on suit un adolescent
dont la vie a été bouleversée après que sa grande sœur, Léa, ait disparue. Sa
famille a alors littéralement éclaté et lui, s’est réfugié dans le surf. Puis,
un jour, Léa est retrouvée. Tout va-t-il donc redevenir comme avant ?
Ce roman est vraiment spécial dans
le sens où le personnage principal n’est pas vraiment le jeune homme que l’on
suit (dont j’ai complètement oublié le prénom, je me demande d’ailleurs si il
est dit…) mais, plus sa grande sœur, Léa. Cependant, cet adolescent n’en est
pas pour autant moins attachant, j’ai d’ailleurs particulièrement aimé ce personnage
que j’ai trouvé vraiment « vivant ». Olivier Adam a réellement réussi
à le rendre « réel », si bien que ça aurait très bien pu être un
garçon de mon lycée. Il est un peu perdu au milieu de sa famille qui se
désagrège petit à petit : la disparition de sa sœur, le départ de sa mère,
la dépression de son père, … Mais, qui reste très intéressant à suivre et n’est
pas pour autant « larmoyant »… J’ai aussi bien apprécié le personnage
de Léa que l’on découvre au travers de mails qu’elle écrit et des yeux de son
petit frère. Elle serait pour moi, le personnage principal de ce roman car elle
en est réellement le centre mais, je
vous avoue que c’est assez bizarre de suivre l’histoire d’un autre point de vue
que le sien.
L’histoire, parlons-en. Elle est
vraiment prenante et mystérieuse. On se demande comment a disparu Léa. A-t-elle
été enlevée ? A-t-elle pris la fuite ? On se demande vraiment ce qui
s’est passé durant ce festival et les mails de Léa que l’on découvre au fur et
à mesure du roman m’ont vraiment laissé imaginer pleins de scénarios
différents. Il a, par moment, vraiment un sentiment d’angoisse qui prend et je
me suis vraiment demandé si les personnages étaient paranoïaques ou si il y
avait vraiment de quoi avoir peur. Le roman est court, un peu plus de 200
pages, mais, cela suffit amplement à rentrer correctement dans l’histoire et à
savoir l’apprécier !
La fin n’est pas celle à laquelle je
m’attendais, j’avais vraiment imaginé quelque chose mais, ce n’est pas pour
autant que je ne l’ai pas appréciée ! Je l’ai trouvé angoissante et le fin
mot de l’histoire m’a vraiment touché et j’ai fermé ce roman sur une bonne
note.
Vous l’aurez compris, ce roman a
vraiment été une bonne lecture et j’aimerais d’ailleurs beaucoup lire le
nouveau roman d’Olivier Adam : Les
roches rouges, qui est sorti chez la Collection R le mois dernier !
Une bonne lecture et une belle
découverte d’auteur !
Salut
à tous ! On se retrouve aujourd’hui pour une nouvelle chronique autour de
la bande dessinée « Culottées » de Pénélope Bagieu. Je ne vais pas
vous mentir, je ne suis pas une grande adepte des bandes dessinées et ce n’est
pas un format dont je suis friande comme vous l’aurez compris peut-être lors de
ma chronique de Heartstopper d’Alice Oseman (qui est un roman graphique et non,
une bande dessinée) mais, bref, le format « dessin » n’est pas
quelque chose que j’apprécie grandement de base…D’ailleurs, n’étant pas une
adepte de ça, je n’ai jamais trop cernée la différence entre « roman
graphique » et « bande dessinée », si l’un d’entre vous pouvait
éclairer ma lanterne, je suis toute ouïe !
Titre : Culottées Auteur :
Pénélope Bagieu Maison d’édition :
Editions Gallimard (Bande dessinée) Année :
2016 Nombre de pages :
144 pages |
Synopsis :« Quinze
récits mettant en scène le combat de femmes d'origines et d'époques diverses,
qui bravèrent les normes sociales de leur temps : Margaret, une actrice
hollywoodienne, Agnodice, une gynécologue de l'Antiquité grecque qui se fit
passer pour un homme afin d'exercer sa profession, Lozen, une guerrière et
chamane apache, etc.» |
°°°
C’est une œuvre que j’ai vu passé il
y a peu et qui m’a tout de suite attirée. J’aime, en effet, beaucoup découvrir
de nouvelles personnes qui ont marqué l’Histoire à leur façon, ce que
promettait cet ouvrage ! Je me suis donc lancée.
On suit donc, au fil des pages, 15
femmes qui ont marqué l’Histoire à leur façon. Certaines m’ont marquée plus que
d’autres mais, ça a été, en règle générale, un plaisir de suivre les
biographies de ces 15 femmes avec le crayon de Pénélope Bagieu qui est
extraordinaire. Je n’avais jamais lu une de ses œuvres et j’ai été agréablement
surprise de ses dessins qui sont vraiment splendides.
C’est une œuvre qui se lit assez
rapidement mais, qui est réellement inspirante et intéressante. J’ai découvert
la majorité des femmes présentées, il me semble que je ne connaissais que
Joséphine Baker avant de le lire et pourtant, j’ai encore appris des choses sur
cette femme. Ca a été réellement une lecture enrichissante que je ne pourrais
que vous conseillez.
Il y a un deuxième tome qui est
disponible et que je lirais bien sûr avec plaisir, tant j’ai apprécié la
manière qu’à Pénélope Bagieu de peindre ces biographies avec humour. Je ne peux
que vous le conseiller car ça a vraiment été une lecture inspirante (excusez-moi
pour la répétition :D). Je ne suis vraiment pas douée pour chroniquer ce
genre d’ouvrages, il me semble mais, je vous conseille de le découvrir par
vous-même pour vous faire votre propre avis !
Un très beau coup de crayon qui
retrace le parcours de femmes inspirantes !
Salut
à tous ! J’espère que vous allez bien, je vous retrouve aujourd’hui pour
la chronique de mon premier livre lu au mois de juin : La fille de
Brooklyn de Guillaume Musso. Il s’agit de mon troisième Guillaume Musso
après L’Appel de l’Ange et Parce que je t’aime.
Titre : La fille de
Brooklyn Auteur :
Guillaume Musso Maison d’édition :
Editions XO Année :
2016 Nombre de pages :
470 pages |
Synopsis :« Je
me souviens très bien de cet instant. Nous étions face à la mer. |
°°°
J’ai découvert Guillaume Musso il y
a quelques années car ma marraine est une grande fan de cet auteur. Elle m’a
fait donc découvrir les deux romans cités en introduction et je suis presque de
suite tombée sous le charme de sa plume. J’aime les univers qu’il crée, ses
personnages, comment il gère les déroulements de ses histoires mais, allez
savoir pourquoi, je ne lis que très rarement ces romans et il m’en reste encore
beaucoup à découvrir ! Dans ce roman-ci, on suit un homme, écrivain de
métier, qui apprend un terrible secret sur le passé de la femme qu’il va
épouser quelques mois plus tard. Il part quelques minutes le temps de réfléchir
et quand il revient, sa future épouse s’est évaporée. Tout au long de ce roman,
nous allons suivre cet homme dans ses recherches pour retrouver la femme qu’il
aime et creuser avec lui dans ce passé qui devient de plus en plus sombre… Un
résumé qui a de quoi m’intriguer !
Tout d’abord, les personnages. Comme
je l’ai dit juste avant, j’adore la façon qu’à Guillaume Musso de créer ses
personnages. Ils s’encrent bien dans la réalité avec un passé que l’on apprend
petit à petit et ils ont surtout presque tous leur petite particularité qui
fait qu’on les retiendra plus facilement une fois le roman refermé. Je me suis
donc beaucoup attaché aux trois personnages principaux : Raphaël, notre
fameux écrivain, Anna, sa future épouse et Marc, un ami de Raphaël. Les points
de vue pivotent entre ses trois personnages ce qui nous permet de mieux les
cerner, les comprendre et surtout, de pouvoir s’attacher à eux. Ce qui est pour
moi, un point primordial dans un roman. De plus, Musso propose une grande
variété de personnages secondaires tous aussi complets les uns que les autres.
On ne reste pas sur sa fin quant aux détails et aux informations sur les
personnages sans pour autant que cela devienne lourd et barbant.
L’intrigue, quant à elle, est bien
ficelée bien que j’ai eu quelques doutes au début. En effet, les premières
révélations arrivent très vite dans le roman et je me suis demandée comment l’auteur
allait pouvoir trouver de quoi nourrir l’intrigue encore pendant 400 pages. Et
bien, il y arrive avec brio ! Les révélations arrivent petit à petit
laissant toujours une part de mystère qui nous donne envie de tourner les pages
encore plus vite pour savoir ce que sera le mot final. Certaines révélations m’ont
pourtant paru logiques au vu du dérouler de l’histoire mais, cela n’a pas
entâcher ma lecture pour autant. Ce roman se lit donc en définitif très bien
car l’intrigue est bien ficelée et nous donne envie d’en lire toujours plus !
Le fin mot de l’histoire arrive
petit à petit ce qui fait que je n’ai pas ressenti ce « Wouah » final
que j’ai pu, par exemple, ressentir lors de ma lecture de La vérité sur l’affaire
Harry Québert de Joël Dicker (que je vous conseille au passage). Mais, elle
reste cependant satisfaisante.
Vous l’aurez compris, j’ai, en
globalité, plutôt bien apprécié ma lecture mais, je reste un peu sur ma faim
quant au dénouement de l’histoire que j’aurais voulu plus « breathtaking »
(si quelqu’un a le mot en français pour ça, je suis preneuse :D).
Un bon thriller !
Bonjour à tous ! Nous arrivons à la mi-juin, ce qui veut dire que presque la moitié de l'année est déjà passée ! Un début d'année très particulier qui aura eu l'avantage de me redonner goût à la lecture et qui m'aura pousser à créer ce blog pour vous partager un peu ma passion. Je vais donc revenir au travers de cet article sur les objectifs que je m'étais donnés le 1er janvier 2020, mes lectures favorites de ce début d'année,...
Salut
à tous ! J’espère que vous allez bien en ce début de semaine. J
Je vous retrouve aujourd’hui pour la chronique d’un roman graphique qui a déjà
fait beaucoup parlé de lui… Je vous parle bien sûr de Heartstopper d’Alice
Oseman, une œuvre que je vois, je pense, chaque jour sur Bookstagram et que j’avais
donc vraiment envie de découvrir ! Ce que j’ai donc fait et en anglais. ;)
Titre : Hearstopper,
tome 1 : Deux garçons, une rencontre (Heartstopper, book 1) Auteur :
Alice Oseman Maison d’édition :
Editions Hodder (Hachette en France) Année :
2019 Nombre de pages :
288 pages |
Synopsis :« Ceci est l'histoire de deux lycéens.
Nick, le rugbyman au sourire solaire. Charlie, le musicien au coeur
solitaire. Parce qu'ils évoluent dans des cercles différents, parce qu'ils
n'ont pas le même caractère, leur amitié n'était pas gagnée. Pourtant, petit
à petit, de façon irrésistible, Charlie tombe amoureux. Même s'il sait que
Nick aime les filles. Même s'il sait qu'il n'a aucune chance. Alors, pour ne
pas mettre en péril cette amitié naissante qui compte pour lui plus que tout,
Charlie préfère garder le silence...» |
°°°
Ce roman graphique, écrit et dessiné
par Alice Oseman elle-même, est le premier que je lis. Je ne suis pas très
friande, en effet, de ce type d’ouvrage. Mais celui-ci a particulièrement
attisé ma curiosité du fait de son succès retentissant sur Bookstagram. Je me
suis donc lancée ! On suit donc deux lycéens : Charlie & Nick au
fil de plusieurs mois. Leur rencontre, leur amitié naissante, puis, peu à peu,
l’amour qu’il se porte…
Cet œuvre est très courte et donc,
elle se focalise principalement sur les deux personnages principaux, tout en
incluant des personnages secondaires mais plus léger. Nick et Charlie sont deux
personnages très attachants et on ne peut que les aimer. Nick est protecteur
envers Charlie. Charlie est timide et ne sait pas trop comment aborder les
sentiments qu’il a pour Nick. C’est quelque chose de très mignonnet. Les
personnages secondaires sont moins mis en avant, ou du moins, c’est ce que j’ai
ressenti. De plus, le fait que ma lecture n’ait duré que 40 minutes environ
aura aussi surement joué sur mon appréciation de ces personnages.
L’histoire, quant à elle, est très
mignonne mais très simple. Elle ne casse pas trois pattes à un canard. Pour
moi, c’est surtout la qualité des dessins d’Alice Oseman qui joue sur le côté
agréable de cette lecture. Non, l’histoire ne m’aura pas subjugué et je ne
lui ai pas trouvé de grand intérêt. Elle est, cependant, très mignonne. C’est
vraiment comme ça que je la définirais. Je n'ai pas vraiment accrocher à cette histoire d'amour, qui est pourtant très belle. Je pense vraiment que c'est ce format, nouveau pour moi, qui a joué sur ce point. Je pense que je n'arrive pas autant à m'immiscer dans l'univers du roman graphique que dans celui d'un roman basique. La fin est à l’image de l’histoire qui
la précède. Je me demande d’ailleurs de quoi traitent les deux autres tomes. Je pense cependant qu'il est à noter que cet ouvrage met en scène des personnages LGBTQ+ et donc, qu'il apporte de la diversité là où il en manque cruellement...
Le point sur lequel je veux vraiment insisté avec cette chronique, c’est la qualité des dessins réalisés par l’auteure. Pour moi, c’est ça qui est vraiment à noter. Son trait est vraiment agréable et j’ai trouvé presque poétique. Les dessins sont très agréables et les presque 300 pages glissent sous les doigts. La couverture peut vous donner une idée du trait d’Alice Oseman mais, c’est vraiment un pur plaisir que de découvrir ces dessins au fur et à mesure du roman. Et c’est vraiment pour cela que je lirais le tome 2 : pour la poésie des dessins.
Enfin,
je dirais que je ne vois pas vraiment en quoi ce roman a pu tant faire parler
de lui, en dehors du fait que les dessins sont très beaux. Mais, je pense que
pleins d’autres romans graphiques proposent un trait aussi très agréable. Je
vous dirais donc, pour finir, que cet ouvrage est à découvrir si vous aimez apprécier
la beauté du dessin mais, que l’histoire n’est pas phénoménale et qu’il faudra
ne pas vous attendre à grand-chose de ce côté-là, selon moi.
Un trait poétique à découvrir !
Salut
à tous ! Aujourd’hui, je vous retrouve pour la chronique d’un livre qui
est longtemps resté dans ma PAL. Il s’agit de 16 Lunes de Kami Garcia et
Margaret Stohl. C’est une saga que j’ai acheté pour une bouchée de pains il y a
plus de 4 ans en brocante mais, que j’avais très peu de sortir de ma PAL. Il y
a, en effet, pas mal d’avis négatif sur ce livre, qui, soit dit en passant, est
une sacrée brique. De quoi faire peur ! Et c’est grâce à une lecture
commune, avec Ema et Elodie, que le premier tome de cette saga est enfin sorti
de ma PAL !
Titre : 16 lunes (Beautiful Creatures) Auteur :
Margaret Stohl & Kami Garcia Maison d’édition :
Editions Hachette (Black Moon) Année :
2010 Nombre de pages :
635 pages |
Synopsis :« J’ai
longtemps rêvé de cette fille. Elle apparaissait dans un cauchemar où, malgré
tous mes efforts, elle tombait sans que je ne puisse la sauver. Je me savais
lié à elle d’une façon particulière. Et puis un jour, elle est arrivée en
chair et en os dans au lycée de Gatlin, notre petite bourgade du Sud des
Etats-Unis. Elle était belle et mystérieuse. Si j’avais su qu’en même temps
que cette fille, dont j’allais tomber éperdument amoureux, surgirait aussi
une malédiction... Nous étions menacés. Et cette fois, j’allais devoir la
sauver... L’amour sera-t-il plus fort que le destin ?» |
°°°
Comme dit en introduction, c’est un
livre qui attend dans ma PAL depuis bien trop longtemps. Un livre assez connu,
il me semble, qui suit Ethan, un adolescent banal dans une ville du sud des
Etats-Unis. Celui-ci fait la rencontre de la mystérieuse Lena, nièce de l’ermite
de la ville et, il se rend compte que celle-ci n’est nul autre que la fille de
ses cauchemars… Une histoire qui paraît au résumé plutôt sympathique et nous
promet un bon moment de lecture pleines de mystères !
Tout d’abord, les personnages. J’ai
vraiment apprécié la majorité d’entre eux (même si quelques un m’ont
franchement tapée sur le système et que j’aurais bien eu envie de les remettre
à leur place). J’ai trouvé qu’ils étaient très réalistes et que les auteures n’essayaient
pas de leur faire revêtir leur cape de super-héros, prêt à tous pour vaincre
les autres. C’est un point que j’ai fortement apprécié. Ensuite, j’ai aussi
beaucoup aimé la diversité des personnages secondaires. On en retrouve de tout
type, de tout caractère, bref, de quoi plaire à tous le monde. Je me suis
beaucoup attaché aux personnages de Ridley et de Macon, peut-être même plus qu’à
Ethan et Lena, eux-mêmes ! J’ai d’ailleurs vu qu’il y avait une saga
centrée sur le personnage de Ridley ! :D
Au niveau de l’intrigue, on nous promet pleins de mystères et d’évènements
des plus fantastiques. On peut dire que en plus de 600 pages, on est servi. L’histoire
est bien menée bien que, j’ai ressenti quelques longueurs à deux reprises
mais, Elodie, qui a lu le livre en anglais, nous a dit que ces longueurs
disparaissaient totalement en anglais. Un problème de traduction ? Je ne
sais pas mais, ça ne m’a pas trop gênée. Ce n’est l’histoire que d’une
quarantaine de pages sur plus de 600, donc pas de quoi en faire un drame selon
moi. L’histoire a donc de nombreux rebondissements mais, j’ai surtout apprécié
le cadre de l’histoire. Cette petite ville de Gatlin, dans le sud des
Etats-Unis, marquée par la guerre de Secession, est franchement très intéressante
et apporte un réel plus à toute l’histoire. Après, elle correspond vraiment au
cliché que j’ai de ces villes du sud, est-ce-que cela correspond à la réalité ?
Je ne pourrais pas vous dire mais, même si ce n’est pas le cas, elle apporte
vraiment un côté que j’ai apprécié à l’histoire.
La fin est riche en rebondissements
et en suspens ! De quoi vous tenir en haleine pendant plusieurs dizaines
de pages. C’est un autre des gros points forts de ce livre. Cette fin est
vraiment riche et percutante. Elle apporte certaines réponses mais, surtout
elle relance plutôt bien l’intrigue pour le tome qui suit derrière. Un tome que
je devrais lire dans les mois qui arrivent, toujours en lecture commune avec
Elodie et Ema, et sans doute aussi Juliette ! Autant vous dire que j’ai
hâte de voir ce que les auteures nous réservent pour la suite de cette
histoire.
Un début de saga qui en promet !
Salut
à tous ! Aujourd’hui, je vous retrouve pour la chronique d’un livre qui a
beaucoup fait parler de lui. Il s’agit de Forbidden de Tabitha Suzuma. Un livre
qui traite du sujet tabou de l’inceste et qui a mis très longtemps à être
traduit en français. Je vous laisse donc avec mon avis que j’ai mis du temps à
écrire car j’ai préféré laisser mûrir le livre dans mon esprit et pouvoir
vraiment digérer cette histoire. Ma chronique est donc écrite plus d’une semaine
après ma lecture.
Titre : Forbidden Auteur :
Tabitha Suzuma Maison d’édition :
Editions Milady (New Adult) Année :
2017 Nombre de pages :
534 pages |
Synopsis :« Maya et Lochan ne sont pas des adolescents
comme les autres. Élevés par une mère alcoolique et instable, ils sont livrés
à eux-mêmes et n’ont d’autre choix que d’élever seuls le reste de la fratrie.
Forcés de devenir adultes plus tôt que prévu, ils se soutiennent dans
l’adversité et finissent par tomber amoureux. Lochan se sent seul au monde,
et Maya est la seule à pouvoir le comprendre. Conscient de la monstruosité de
cet amour, Lochan est prêt à tout pour bâillonner le désir et les sentiments
que sa sœur lui inspire. Mais comment résister alors que Maya a besoin de lui
autant qu’il a besoin d’elle ? Est-ce un crime de s’aimer si fort ?» |
°°°
J’ai beaucoup entendu parler de ce
livre. Il traite, en effet, d’un sujet peu commun, et vraiment tabou dans notre
société : l’inceste. Dans ce roman, on suit Lochan et Maya, deux
adolescents, frère et sœur, qui vivent une situation familiale vraiment complexe
et qui tombent amoureux.
Comme d’habitude, je vais commencer
par vous parler des personnages. Tout d’abord, Lochan. Un adolescent timide,
perdu, qui ne parle à personne en dehors de sa famille mais, très protecteur et
aimant envers ses frères et sœurs, dont Maya fait partie. Même si je l’ai aimé
presque dès le départ, j’ai eu à certains moments beaucoup de mal avec ses
réactions, qui m’ont parfois énervée. Maya, quant à elle, est une adolescente
plus pétillante que son frère mais, qui s’occupe elle-aussi avec beaucoup de
bienveillance de ses frères et sœurs. Car, en effet, Lochan et Maya sont, en
quelque sorte, à la tête de leur famille, les parents ayant, si on peut le
dire, quitté le bateau. Mais j’y reviendrais plus tard. On suit aussi beaucoup
les frères et sœur de Maya et Lochan, l’histoire se déroulant presque
uniquement dans le cercle familial. J’ai beaucoup apprécié, en général, les
personnages, les petits couacs avec Lochan mis à part.
L’histoire, quant à elle, est
spéciale. Même une semaine après, j’ai encore beaucoup de mal à mettre toutes
mes pensées et émotions en ordre. Le roman traite donc de l’inceste, d’une
histoire d’amour entre un frère et une sœur, de l’amour entre Maya et Lochan.
Avant toute chose, c’est une très belle histoire d’amour, un amour qui semble
pur et si fort. Mais, il y a quand même cet aspect qui dérange : le lien
familial entre ces deux personnages. Je ne sais pas vraiment comment en parler
et même une semaine après lecture, c’est vraiment compliqué de mettre un mot
sur ses sentiments et pensées divergents qui se bousculent dans ma tête. Autant
la romance est magnifique, autant je n’arrive pas à me sortir de la tête que ce
n’est pas sain. Et même les personnages le font remarquer au cours du roman, on
suit leur pensée qui leur disent que cette histoire n’est pas « naturelle »
et qu’elle ne devrait pas avoir lieu. Mais, moi, lectrice, j’avais tout de même
envie de voir leur romance s’achever car cet amour semblait si beau lors de ma
lecture. Vous le comprendrez donc, j’ai beaucoup de mal à parler de cet
aspect-ci et je pense que si vous le lisez, il en est à vous de décider ce que
vous en pensez et que votre avis divergera sans aucun doute du mien. Mais, bien
que l’histoire semble se concentrer sur ça, il y a un autre point qui est
beaucoup développé dans ce roman et que j’ai beaucoup apprécié. Il s’agit de la
famille. Lochan et Maya sont donc, en quelque sorte, à la tête de leur famille
puisque le père est parti depuis longtemps et que la mère s’en va petit à petit
se chercher une nouvelle vie, laisser ses enfants seuls. On suit donc les
personnages presque dans un huis-clos familial, celui-ci se brisant à quelques
moments pour rejoindre le lycée. Et donc, l’histoire s’installe dans une
presque routine familiale où Maya et Lochan essayent à tout prix de préserver leurs
petits frères et leur petite sœur du mal extérieur. Et c’est ce que j’ai
beaucoup aimé dans ce roman car, il traite certes de l’inceste mais aussi de l’amour
fraternel. Et je crois que j’ai autant aimé suivre l’histoire d’amour de Maya
et Lochan que leur vie, ou survie, dans cette famille.
Quant à la fin, je ne peux pas dire
que je ne l’attendais pas mais elle m’a quand même laissé avec le cœur en
miettes. Je ne voyais pas d’autre fin possible mais, disons que j’ai espéré.
Espérer un avenir meilleur, en particulier. Mais, bon, je pense qu’elle ne
pouvait pas vraiment diverger de celle qu’elle est.
Vous le comprendrez donc, ce roman m’a
laissé avec le cerveau à l’envers. Je ne sais pas quoi penser. Je pense que
cela fait longtemps qu’un roman ne m’a pas laissé avec de tels sentiments et
que ce roman restera encore longtemps dans ma mémoire. Je ne peux pas vous dire
aujourd’hui si c’est un coup de cœur, mais si ce n’en est pas un, c’est ce qui
s’en rapproche le plus. C’est un roman que je vous conseille mille fois car il
vous fera réfléchir sur un tas de sujets et ouvrira une grande réflexion une
fois que vous aurez refermé la dernière page…
Un livre que je pense inoubliable !
Salut
à tous ! Après ma relecture de la saga After en début d’année
2020, j’ai voulu retrouver les personnages de la saga. Et quoi de mieux que de
lire les romans du point de vue de Hardin. C’est comme ça que les deux tomes se
sont retrouvés dans ma PAL et que je me suis lancée dans la lecture de la
partie 1 durant ce mois de mai.
Titre : After, tome
6 : Before, partie 1 Auteur :
Anna Todd Maison d’édition :
Editions Hugo & Cie (New Romance) Année :
2016 Nombre de pages :
256 pages |
Synopsis :« Hardin tient un journal secret. Il y
raconte son histoire, avant sa rencontre avec Tessa et pendant les semaines
qui vont changer sa vie. Un journal où les filles de sa bande : Nathalie,
Molly, Melissa et Steph tiennent un rôle essentiel. |
°°°
Pour commencer, il faut savoir que
la saga After fait partie de
mes sagas préférées. J’ai beaucoup aimé suivre ces personnages et leur histoire
durant 5 tomes. Je peux cependant comprendre pourquoi elle n’est pas appréciée
par beaucoup de lecteurs. Ce n’est pas mon cas et donc, vous comprendrez
aisément que me lancer dans la lecture de Before a été vraiment un réel plaisir pour moi.
Tout d’abord, ce livre est divisé en
plusieurs parties. Les premières se déroulent autour de personnages secondaires
de la saga. Des personnages dont on ne connait pas trop la vie, ni l’histoire
et dont parfois on aimerait en savoir
plus. Ainsi, ça a été une agréable découverte pour moi d’en apprendre
plus sur des personnages tels que Steph ou Molly. Ce sont vraiment des
personnages auxquels on ne s’intéresse pas vraiment dans les 5 tomes de la saga
principale et découvrir ici un petit bout de leur passé, leur rencontre avec
Hardin. C’est vraiment quelque chose qui m’a plu.
Ensuite, j’ai beaucoup aimé vivre
une sorte de relecture du tome 1 au travers du personnage d’Hardin. C’est un de
mes tomes préférés (j’aime beaucoup le dernier aussi) et donc, pouvoir le
relire selon un autre point de vue, c’est quelque chose qui m’a vraiment plu
encore une fois. On connaît déjà bien Hardin de part la saga principale mais
avoir son point de vue pour ce tome 1, c’est vraiment sympa pour quelqu’un
comme moi qui aime beaucoup After. J’ai
aimé revivre sa rencontre avec Tessa et connaître ses sentiments à ces moments
précis. Il est à savoir qu’Hardin est un de mes personnages préférés d’After (après Landon, bien sûr) et donc,
que de le découvrir un peu plus dans l’univers du tome 1 est vraiment quelque
chose d’agréable.
Je dirais donc, pour conclure, que
ce tome est vraiment un bon ajout à la saga de base si on a aimé cette saga. Je
sais que ce n’est pas le cas pour beaucoup mais, si vous avez apprécié After, je ne peux que vous conseillez Before.
Un bon ajout à la saga !
Salut
à tous ! Aujourd’hui, on se retrouve pour un nouvel article, qui n’est
autre que ma chronique sur le dernier livre de John Green que j’ai lu, soit Le
théorème des Katherine. J’ai déjà lu plusieurs livres de John Green, j’ai d’ailleurs
récemment acheté la version originale de Nos étoiles contraires pour
pouvoir la relire ! Enfin, ce n’était pas mon premier John Green, sûrement
pas mon dernier non plus !
Salut ! Je vous retrouve aujourd'hui pour un article qui change un peu de mes chroniques habituelles pour que vous en appreniez un peu plus sur moi et surtout, sur mes habitudes de lectrice. Un tag que j'ai vu sur plusieurs blogs et que j'ai trouvé très intéressant. :)
2. Marque-page ou n'importe quel morceau de papier ?
3. Est-ce que tu peux t'arrêter de lire n'importe où dans le livre ou dois-tu attendre la fin d'un chapitre ?
4. Est-ce tu manges ou bois quand tu lis ?
5. Multi-tâches: musique ou télévision en lisant ?
6. Un livre à la fois ou plusieurs ?
7. Lire à la maison ou ailleurs ?
8. Lis-tu à voix haute ou en silence dans ta tête ?
9. Est-ce qu'il t'arrive de sauter des pages ou même de jeter un coup d'œil plus loin dans le livre ?
10. Casser la tranche ou la garder intacte ?
11. Est-ce que tu écris dans tes livres ?
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- BILAN DU MOIS - Juin 2020
- LA TÊTE SOUS L'EAU - Olivier Adam
- CULOTTEES - Pénélope Bagieu
- FOLLOW ME BACK - A.V Geiger
- LA FILLE DE BROOKLYN - Guillaume Musso
- BILAN - Mi-année 2020
- HEARTSTOPPER, TOME 1 - Alice Oseman
- 16 LUNES - Kami Garcia & Margaret Stohl
- FORBIDDEN - Tabitha Suzuma
- BEFORE, PARTIE 1 - Anna Todd
- LE THEOREME DES KATHERINE - John Green
- TAG - Mes habitudes de lectrice
- STUPEUR ET TREMBLEMENTS - Amélie Nothomb
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